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Nous sommes en octobre, c’est le dernier mois où l’on peut encore trouver du beau temps en Europe ; nous avons donc choisi de découvre quelques îles grecques et Athènes.

Il faut environ 6 heures pour rejoindre Santorin depuis Paris, le pilote nous prévient “la piste d’atterrissage est courte, ça va être un peu violent”. On a réservé 4 nuits à l’hôtel Villas Ilias qui est situé à Firostefani, juste au dessus de Fira, la ville la plus touristique de l’île : la vue sur Santorin et l’île de Néa Kaméni est tout aussi belle, il y a moins de monde et c’est un peu moins cher.

Megalochori

Il est très facile de se déplacer en bus sur l’île de Santorin. Il suffit de se rendre à la gare de bus et vous avez toutes les horaires et directions. Pour quelques euros on prend un ticket en direct de Megalochori.

On se balade presque seuls dans le village pour faire connaissance avec l’architecture des Cyclades.

Après un bon déjeuner à la Taverne Geromanolis, on se décide d’aller voir un autre village.

Pyrgos

Encore un petit village typique, mais plus haut cette fois donc la vue sur Santorin est plutôt appréciable.

De retour à Firostefani, on achète une bouteille de vin local et on s’installe au bord de la piscine de l’hôtel pour profiter du coucher de soleil.

Oia

La vue au réveil est toujours aussi folle ; chaque matin il y a des nouveaux bateaux de croisière qui viennent déposer des tas de touristes qui ne verront rien d’autre que les magasins de Santorin.

Oia est également accessible avec les bus locaux, il faut environ une heure sur la route principale et sinueuse.

On trouve quelques ruelles tranquilles mais lorsqu’on revient vers le chemin principal on se bouscule un peu.

Tout en bas c’est Ammoudi, notre objectif pour le déjeuner.

Pour cinq euros, vous pouvez descendre et/ou monter en âne : on passe notre tour 🙂

On déjeune à l’Ammoudi Fish Tavern, ce n’est pas mal sans nous laisser un souvenir transcendant.

Sur Google Maps, il y a une petite plage au bout d’un chemin escarpé ; au bout, quelques personnes sautent au milieu des rochers mais rien pour se reposer.

La remontée jusqu’à Oia est fatigante sous la chaleur mais une fois arrivée en haut, une balade de 12 kilomètres (depuis le centre d’Oia) nous attend pour rejoindre Fira en longeant la côte.

Clairement la plus belle vue de Santorin !

On s’est organisés pour profiter du coucher de soleil sur le chemin du retour. À cette heure, on ne croisera qu’une dizaine de personnes tout le long.

Après 2H30 de marche, on arrive à Imerovigli, à droite Oia apparaît devant un ciel mauve, à gauche Firostefani et Fira plus loin.

Red Beach

Cette fois, on loue une voiture pour se balader tranquillement et atteindre des coins non desservis par les bus.

La Red Beach doit son nom à la couleur des collines de terre tout le long ; sur la plage c’est des roches volcaniques lissées par la vagues.

Premier stop pour voir la “Red Beach” : l’accès est un peu délicat avec notre mini voiture car la route est pleine de cailloux et c’est très en pente !

Il y a vraiment une cabane de pêcheur derrière cette porte !

Un jardin très accueillant.

Emporio

L’avantage en Grèce c’est qu’on ne dit pas un “kebab” mais un “gyro”, c’est donc une spécialité locale raffinée qu’on peut manger sans culpabilité 😉

Après une petite balade dans Emporio pour digérer notre gyro, on reprend la voiture pour aller au point culminant de Santorin : le monastère du Prophète Élie.

L’hôtel nous organise le transfert jusqu’au port pour être à l’heure en fonction du bateau qu’on veut. On prend des billets sur place pour Ios (pas de stress, c’est la basse saison), ça coûte 21€ par personne pour environ 40 minutes de traversée.

Où on a dormi à Santorin ?

  • Villas Ilias  : hôtel très bien placé, légèrement à l’écart de la foule, piscine avec une vue incroyable, un petit déjeuner bon et complet !

Où on a mangé à Santorin ?

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